Sur les 817 employés renvoyés ou suspendus en raison de leur participation à la grève nationale de septembre 2010, qui avait mobilisé plus de 200.000 travailleurs (voir édition 2011 du rapport annuel), 71 travailleurs issus de 11 usines n’ont pas encore pu réintégrer leur emploi. Le gouvernement et une cour de justice ont pourtant estimé que les entreprises devaient les réintégrer.
Certaines usines ont accepté de réintégrer les travailleurs qu’elles avaient licenciés, mais sans respecter leur engagement de payer les salaires dus depuis la fin de la grève.