Malgré l’existence d’accords de prélèvement à la base des cotisations syndicales, plusieurs cas d’entreprises tentant de les retenir ont été notés.
Tel a été le cas de la société KTD Bilan d’Orebić qui a malicieusement retardé le transfert des cotisations des membres par des procédures administratives inutiles.
Un autre exemple est celui d’Autoprijevoz – Otočac où les cotisations locales étaient prélevées des salaires des travailleurs des transports et des communications, mais sans jamais avoir été transférées sur le compte du syndicat.