Corea, República de - Les droits syndicaux fondamentaux ne sont toujours pas reconnus

Trois ans après l’élection du président Moon Jae-in, son administration n’a toujours pas ratifié les Conventions fondamentales de l’OIT Organización Internacional del Trabajo Agencia tripartita de las Naciones Unidas, establecida en 1919 con objeto de promover y mejorar las condiciones de vida y de trabajo. Es el principal organismo internacional encargado de desarrollar y supervisar las normas internacionales del trabajo.

Véase tripartidismo, Guía de la CSI sobre los derechos sindicales internacionales
n°87 et 98 sur la liberté syndicale, le droit à former et à adhérer à un syndicat et à négocier collectivement, en dépit des promesses électorales. En outre, l’administration avait apparemment l’intention de restreindre davantage les droits des travailleurs/euses atypiques (c’est-à-dire les travailleurs des plateformes, les travailleurs indépendants, les travailleurs non réguliers et temporaires) et des travailleurs de l’économie informelle.
Le 13 avril 2019, plus de 20.000 travailleurs ont participé à un rassemblement organisé par la Korean Confederation of Trade Unions (Confédération coréenne des syndicats – KCTU) pour demander au gouvernement de ratifier les conventions fondamentales de l’OIT Organización Internacional del Trabajo Agencia tripartita de las Naciones Unidas, establecida en 1919 con objeto de promover y mejorar las condiciones de vida y de trabajo. Es el principal organismo internacional encargado de desarrollar y supervisar las normas internacionales del trabajo.

Véase tripartidismo, Guía de la CSI sobre los derechos sindicales internacionales
, notamment les Conventions n°87 et 98, d’amender la loi sur les syndicats et de garantir les droits syndicaux élémentaires des travailleurs atypiques.
Outre les préoccupations que suscite l’exclusion des travailleurs atypiques des protections liées aux droits fondamentaux, de graves violations du droit de grève dans les secteurs privé et public ont perduré, de même qu’une ingérence flagrante du gouvernement en ce qui concerne les conditions requises pour adhérer à un syndicat et être élu dans un syndicat. La Korea Employers Federation (Fédération des employeurs de Corée – KEF) a annoncé qu’elle approuverait la ratification des conventions de l’OIT Organización Internacional del Trabajo Agencia tripartita de las Naciones Unidas, establecida en 1919 con objeto de promover y mejorar las condiciones de vida y de trabajo. Es el principal organismo internacional encargado de desarrollar y supervisar las normas internacionales del trabajo.

Véase tripartidismo, Guía de la CSI sobre los derechos sindicales internacionales
à condition que des restrictions supplémentaires soient appliquées, en invoquant l’argument qu’elle utilisait depuis des années, selon lequel les Conventions n°C87 et C98 risquaient de conférer une autorité excessive aux syndicats. Le gouvernement semblait être prêt à adopter les propositions des employeurs.
Comme la situation ne s’améliorait pas, le 16 novembre, la Federation of Korean Trade Unions (Fédération des syndicats coréens – FKTU) a organisé un grand rassemblement devant l’Assemblée nationale pour demander la garantie des droits fondamentaux des travailleurs et pour empêcher la révision des droits du travail, jugée régressive. Environ 30.000 membres de la FKTU ont participé au rassemblement, pour exiger, comme la KCTU, la ratification des conventions fondamentales de l’OIT Organización Internacional del Trabajo Agencia tripartita de las Naciones Unidas, establecida en 1919 con objeto de promover y mejorar las condiciones de vida y de trabajo. Es el principal organismo internacional encargado de desarrollar y supervisar las normas internacionales del trabajo.

Véase tripartidismo, Guía de la CSI sobre los derechos sindicales internacionales
, la garantie des droits fondamentaux des travailleurs en réexaminant la loi sur l’ajustement des relations syndicales et de travail, la mise en œuvre effective d’une semaine de travail de 52 heures, l’absence de discrimination contre les travailleurs en situation irrégulière, la suppression des changements négatifs effectués sur le mécanisme du salaire minimum, l’élargissement du cadre des salaires ordinaires, et une réforme des retraites, entre autres.

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