L’Association des infirmiers du secteur public (GNOA), l’Alliance syndicale des services de santé (HSTUA) et la Confédération syndicale (TUC) ont déposé une plainte devant le Comité de la liberté syndicale de l’OIT
Organización Internacional del Trabajo
Agencia tripartita de las Naciones Unidas, establecida en 1919 con objeto de promover y mejorar las condiciones de vida y de trabajo. Es el principal organismo internacional encargado de desarrollar y supervisar las normas internacionales del trabajo.
Véase tripartidismo, Guía de la CSI sobre los derechos sindicales internacionales
. Elle concerne des mesures d’intimidation prises à l’encontre du personnel infirmier qui a participé à un mouvement de grève en 2010 (voir édition 2011 du rapport annuel), le transfert dans des hôpitaux lointains de 34 militants syndicaux du GNOA pour les empêcher d’y participer, et le refus par les autorités de la santé de détacher de ses fonctions le président de GNOA, Saman Rathnapriya. Ce refus de détachement est intervenu au début de l’année alors qu’il avait été accordé les quatre années précédentes, et selon les plaignants, il constitue un acte de représailles contre le président du syndicat suite à son rôle dans le mouvement de grève.
